Un carnet de confinement comme un carnet de voyage chez soi.
Il n’est pas toujours nécessaire de partir loin pour voyager et c’est encore plus vrai lors d’un confinement.
Le gong a sonné !
En ce jour du 17 mars 2020, il n’est désormais plus permis de sortir de chez soi. Sauf pour l’indispensable : se nourrir et s’aérer.
Mais, pour l’articulteur et sa famille, une nouvelle ère s’annonce : celle du potager, également de la permaculture.
Apologie de l’arrosoir est un journal qui raconte comment, grâce au confinement, leur vie a changé.
Et comment cet événement extraordinaire a eu une répercussion décisive sur leur vie minuscule.
Extrait :
« Nous avons semé des salades et des courgettes. Il faut d’abord bêcher la terre, l’ameublir et l’attendrir avec de l’eau.
Puis insérer les petites pépites. Le jardin, rangée après rangée, s’enrichit de graines et de pousses.
Il se remplit de promesses minuscules. Les tiendra-t-il ?
Le potager est un film à suspense. »
Peintre, écrivain, carnettiste, voyageur, puis confiné comme nous autres, Simon ne rate pas une occasion de voyager autrement.
« Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles » (C. Bobin)
Et sans doute l’Homme en contient lui aussi tout autant…
Editeur : Éditions Akinomé
Nombre de pages Livre papier : 64
Publication : 7 octobre 2020
Edition : 2e édition
Intérieur : Couleur
Support(s) : Livre papier
Poids (en grammes) : 450
Langue(s) : Français
EAN13 Livre papier : 9791096405305
26,00 €
34,00 €
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